Les mini-formations de l'Atelier Galita/Storytelling. Utiliser la puissance de la narration dans toutes ses communications. Même les plus austères.

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Storytelling. Utiliser la puissance de la narration dans toutes ses communications. Même les plus austères.

Je vais te raconter comment je suis passé de victime au collège à élève populaire dans mon école de commerce.

Au collège, au lycée, j’étais tout sauf populaire. D’ailleurs ces années ont été horribles. Surtout le collège. 

Alors, relativisons… je n’ai rien vécu de dramatique, personne ne m’a jamais frappé. Je n’ai pas fait partie des vraies victimes de harcèlement scolaire.

Pour autant, ça reste un mini-traumatisme : ce moment où j’ai compris que les foules pouvaient être cruelles. Sans raison.

La foule frappe sans raison. Les dessins animés de Disney sont faux : les gentils ne gagnent pas et il n’y a pas besoin de raison pour qu’un groupe se déchaîne.

La chance que j’ai eu ?

Justement quand j’étais au CP, je trainais avec un élève pestiféré. Il s’appelait Ludovic. J’adorais Ludovic. Mais j’étais le seul. Personne ne l’aimait. Pourquoi ? Aucune raison particulière. Il faut bien un vilain petit canard.

Problème ? Il était dernier de la classe. J’étais premier. Alors la maîtresse a dit à mes parents qu’il fallait faire attention à ne pas me laisser traîner avec lui. 

Quand j’y repense c’est dingue… les adultes parlent souvent devant les enfants, comme s’ils ne comprenaient rien. Mais je comprenais. J’ai décidé de me révolter.

Sauf que… je suis resté moins d’un mois au CP. J’ai sauté la classe et donc, de facto...

Adieu Ludovic.

Mais une leçon est restée gravée en moi : les foules frappent sans raison. Je ne comprenais pas ce que Ludovic avait fait pour mériter ça. Il était pas doué en classe, il était turbulent. Mais c’était un enfant. Il n’avait pas mérité ça.

J’ai compris que le pestiféré était quelqu’un comme les autres quand on prenait le temps de le découvrir. C’est un manque de chance qui en fait le pestiféré. C’est cette découverte qui m’a permis de tenir quand je suis moi-même devenu le pestiféré. Je n’ai jamais arrêté de m’aimer. Parce que je me disais que j’étais juste la cible aléatoire de la foule.

Un jour, j’ai fait une découverte…

On est quelques années plus tard. En classe préparatoire. Je ne suis plus le pestiféré. Je comprends comment m’attirer la sympathie de la classe avec une astuce simple : être insolent envers les profs.

Enfin… je dis ça comme si j’avais fait ça tout seul. En vrai j’ai aussi rencontré Cyril Banaias. Qui a été la première personne qui m’a montré qu’on pouvait faire le pont : être chelou et être populaire à la fois. Mais c’est une autre histoire.

Je te disais donc : je suis sur le point de faire une découverte.

Je suis dans une salle de classe, tout seul, pour un projet. D’un coup, le sol se met à trembler. Je panique… je me rue vers la balustrade du 5ème étage et je me prépare à sauter dans le vide…

…une voix me dit “l’escalier”.

Elle ne me dit pas “tu vas mourir” hein… elle me dit juste “y’a un escalier”

Et je me retrouve à voler dans les escaliers. Aujourd’hui encore, je suis incapable d’expliquer comment j’ai réussi à ne pas me rompre le cou.

Le lendemain, j’ai raconté cette histoire à qui voulait l’entendre. En effet, j’avais été le seul à faire ça : les autres s’étaient tous docilement réfugiés sous une table. Comme le veut la consigne. C’est d’ailleurs probablement ce que j’aurais fait si j’avais été avec mes camarades pendant le séisme.

Cette histoire fascinait les personnes à qui je la racontais. Aujourd’hui, je l’ai tellement racontée que je le fais de manière machinale. C’est là que j’ai compris qu’on peut captiver les autres avec une histoire.

Mais si on a pas d’histoire incroyable à raconter ?

Voilà la magie : tu n’as pas besoin d’une histoire folle. Tu n’as pas besoin de vivre un séisme. Une fois que j’avais pris goût à réunir des auditoires autour de moi, je savais le faire sur n’importe quoi. Je peux te raconter n’importe quoi de manière captivante.

En vrai, le sujet de l’histoire est un détail. On peut faire une histoire incroyable avec une biographie et une histoire chiante avec des robots de l’espace. Il n’y a pas de mauvais sujet d’histoire, il n’y a que de mauvaises manières de raconter.

Sauf que ce n’est pas donné à tout le monde

Avant, je ne savais pas le faire. Je ne suis pas né en sachant. Tu sais… souvent je te dis “je suis né en sachant parler en public” ou “je suis né en sachant déjà bien écrire”. Là ce n’est pas le cas. Je me rappelle de quand je ne savais pas raconter des histoires. J’étais comme toi.

Toi tu te dis : mais comment fait ce mec, cette nana, qui sait si bien raconter des histoires en soirée ?

Tu sais…cette personne qui est lumineuse, qui attire tous les regards parce que tout le monde est suspendu à ses lèvres.

Ce type de personne charismatique dont tu aimerais connaître le secret…

Ce secret pour mettre du piment dans toutes tes communications.

Parce que toi… tu te dis que tu ne sais pas le faire. Quand tu veux raconter une histoire, tu t’embrouilles… c’est long… toi-même tu ne sais pas où tu vas… ton public t’écoute par politesse mais tu sens bien qu’il n’est pas captivé…

Si tu ne sais pas raconter ton histoire, on t’oubliera

C’est pire que ce qui n’y paraît. Tu pourrais te dire qu’après tout ce n’est pas grave. Certaines personnes sont douées pour faire du sport, d’autres pour raconter des histoires.

Je pense que tu te trompes. Je pense que tout le monde devrait savoir raconter des histoires, au moins un peu.

Pourquoi ? Parce que les histoires sont la manière la plus efficace de télécharger une idée dans les cerveaux des autres humains. À petite et à grande échelle.

Les histoires changent le monde, façonnent la discussion mondiale.

Qu’est-ce que la Bible si ce n’est une histoire qui a changé le monde ?

Si tu n’es pas capable de te raconter… qui t’écoutera ?

De la même manière qu’un peuple doit créer son Histoire avec un grand h, tu dois aussi créer ton histoire avec un petit h.

Sinon quoi ? Tu laisses quelqu’un d’autre raconter sa version de ton histoire ?

Car oui… une histoire a autant de versions que de narrateurs C’est un de ses aspects les plus négligés mais aussi les plus dangereux.

Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse ne peuvent que chanter la gloire du chasseur.

Si tu ne sais pas raconter ton histoire, on ne peut pas te connaître

Personne ne va raconter ton histoire à ta place. Même si tu n’es pas d’accord, c’est comme ça. On attend que tu racontes ton histoire en permanence : en entretien d’embauche, pour obtenir un appartement, en rencard…

Savoir raconter ton histoire te permet de créer du lien avec des inconnus. Et même avec des gens que tu connais.

Combien de tes proches auraient une vision différente de toi si tu leur racontais vraiment ton histoire ?

Si tu ne sais pas raconter ton histoire, tu ne te connais pas

Mais même pour toi ? Raconter ton histoire permet aussi de faire la paix avec ton passé.

Raconter ton histoire permet d’amener les autres à te connaître profondément. 

Ça te permet de décider, en partie, l’image que tu renvoies. Mais surtout : ça te permet d’apprendre à te connaître.

Car nous sommes tout autant façonnés par les histoires que l’on raconte que par les événements qui nous arrivent.

D’ailleurs, on a observé que les victimes de traumatismes guérissaient beaucoup plus vite quand elles donnaient un sens, un récit, à ce qui leur était arrivé.

Qu’est-ce qu’une thérapie psychologique si ce n’est un grand travail de compréhension des histoires qui te façonnent et te paralysent ?

Ne pas savoir raconter des histoires t’expose à la double peine…

…non seulement tu vis des chose désagréables, comme nous tous, comme nous toutes. Mais en plus tu n’en tires aucun bénéfice.

D’ailleurs, il y a une expérience connue en science sociale où on raconte une histoire de braquage de banque. En gros, tu es dans une banque et des braqueurs arrivent. Dans l’opération tu finis par prendre une balle dans le bras. Est-ce que cet événement est chanceux ou malchanceux ?

Une partie des gens répondent que c’est malchanceux : “j’étais au mauvais endroit au mauvais moment”.

Une autre partie répond que c’est super chanceux : “j’aurais pu mourir, heureusement que c’est le bras”.

Et après tu as carrément les gens comme moi qui disent : “mais j’irai raconter l’histoire sur tous les plateaux ! Et à la fin on en fera un film…je serai riche !”

Du même événement découle une perception radicalement différente selon l’histoire que l’on choisit de raconter.

Et ce n’est pas anodin : les histoires que tu te racontes finissent par façonner une partie de ta réalité. Je dis bien une partie : ne vas pas me faire dire que j’ai affirmé qu’on pouvait tout réaliser à partir du moment où on le voulait. 

C’est stupide. Il y a quelque chose qui s’appelle “la réalité”, qu’on ne peut pas modifier. 

En revanche, il existe bien une partie que l’on peut modifier, par l’histoire qu’on raconte.

Apprendre la prise de parole en public ne va pas résoudre ton problème

Je sais : je t’ai déjà dit ça quand on a parlé de la formation à la pédagogie. Mais là c’est pareil. Peut-être que tu te dis que ce qui te manque c’est la technique de prise de parole en public. Si ça se trouve tu m’as même acheté l’une de mes deux formations sur le sujet.

Mauvaise nouvelle : ça ne marche pas.

Alors en fait… j’exagère. Parce que dans ma formation j’ai, pour cette raison, inclus une partie sur l’art de raconter les histoires. Mais dans la plupart des formations à la prise de parole, on n’aborde pas ce point. Et même dans la mienne… je l’ai abordé très légèrement.

Savoir parler en public est limité si tu ne sais pas raconter une histoire.

On peut faire des prises de parole sans raconter d’histoire. On peut faire des histoires sans prendre la parole. Mais la combinaison des deux est diaboliquement efficace.

Si tu es capable de prendre la parole pour raconter une histoire, tu débloques un super-pouvoir.

C’est pour cette raison que…

Je te propose une formation sur la narration…

Tu sais…le truc qu’on appelle “storytelling” maintenant.

On va voir ensemble, en moins d’une heure et demie, les grands principes qui t’aideront à développer ton talent de narration.

Ces principes, une fois que tu les connaîtras, tu les trouveras évident. Car, toutes les histoires à succès reposent dessus.

Tu auras fini cette formation avant ce soir si tu te motives

Je fais volontairement des formations très courtes et condensée, pour que tu puisses la faire en entier. Celle-ci dure donc moins de deux heures et s’appelle :

Storytelling. Utiliser la puissance de la narration dans toutes ses communications. Même les plus austères.

Clique sur "Accéder" pour l'ouvrir.


Et, grâce à ça (mais en fait grâce à toi)…

… tu seras capable de comprendre comment épicer tout ce que tu racontes.

… tu comprendras quel niveau de détails apporter.

… tu découvriras l’ingrédient qui fait une histoire. Celui qui fait qu’un texte est juste un texte et qu’un autre est une histoire.

Mieux que ça…

Tu pourras t’en servir dans toutes les situations. Je crois que je ne connais aucune situation où le talent de narration est inutile.

C’est un peu comme l’humour : tu peux en saupoudrer partout.

Tout est mieux avec de la narration.

Pardon. On doit dire storytelling maintenant. Tout est mieux avec du… STORYTELLING. J’avoue ça sonne plus classe.

Mais il n’y a pas de magie.

Je suis enthousiaste parce que je suis convaincu d’avoir produit une formation de qualité… mais c’est comme tout : ce n’est pas une solution magique.

Cette formation ne marchera pas pour toi si :

  • Tu refuses catégoriquement d’utiliser un langage émotionnel. Je peux t’enseigner les fondements de la narration … si tu rêves de raconter une histoire sans t’impliquer émotionnellement, ça ne va pas fonctionner.

  • Tu connais déjà la théorie et tu voudrais pratiquer en atelier. Si tu connais les travaux de Joseph Campbell par coeur ou que tu as lu Made to stick ou encore The story Grid… tu as déjà couvert l’essentiel de ce qu’on verra. J’aimerais bien proposer des ateliers sur le sujet, mais on en reparlera dans le monde d’après le confinement.

  • Tu n’aimes pas le format vidéo et le format audio (de manière évidente)

Cette formation pourra même carrément te décevoir si tu n’aimes pas ma manière d’écrire cet email. On me dit souvent que je parle comme j’écris. Donc ça va ressembler à ça.

Mais concrètement, il y a quoi dans cette formation ?

Il y a sept parties et un bonus :

  1. Pourquoi les histoires sont-elles si importantes ?

  2. Les trois fondements d’une histoire

  3. Les cinq caractéristiques d’une bonne histoire

  4. Les erreurs fréquentes à éviter

  5. Comment épicer une histoire

  6. Cinq archétypes clés en main

  7. Résumé de la méthode

  8. Bonus : je prends une communication banale et austère et je la transforme en histoire enthousasmiante devant gtes yeux

Dans le détail ça donne…


1) Pourquoi les histoires sont-elles si importantes ?

  • Tu comprendras la puissance des histoires

  • Tu découvriras leur effet sur le cerveau

  • Tu sauras pourquoi c’est une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle à la fois

  • Tu identifieras un phénomène qui nous pourrit la vie et qui vient de la capacité de nuisance des histoires

2) Les trois fondements d’une histoire

  • Tu comprendras le point commun entre Dragon Ball et Roméo et Juliette

  • Tu découvriras l’ingrédient qui fait les histoires. Si tu l’enlèves, ce n’est plus une histoire.

  • On verra pourquoi cet ingrédient principal doit toujours être assorti de deux ingrédients secondaires

  • Je te montrerai les trois mots de liaison que tu dois retenir pour écrire une histoire

  • Tu redécouvriras la structure que toutes les histoires utilisent. On te l’a dit à l’école primaire mais tu étais trop jeune pour comprendre profondément les implications.

  • Je te montrerai une structure simple prête-à-l’emploi qui s’appelle “le pitch Pixar”

3) Les 5 caractéristiques d’une histoire qui marque

  • Mon premier est comme bonjour

  • Mon deuxième t’attend mais pas toi

  • Mon troisième est béton 

  • Mon quatrième est véridique mais paradoxal

  • Mon cinquième est chaleur

4) Les erreurs fréquentes à éviter

  • Tu sauras quelle erreur font la plupart des gens

  • Tu comprendras que la vérité est une mauvaise question

  • …mais c’est pourtant à la fois la seule question

  • Tu comprendras ce qui permet de choisir chaque brique

  • Tu découvriras un conseil que j’ai trouvé dans la suite de l’Auberge Espagnole

  • Tu comprendras qu’il y a une partie de l’histoire qu’on ne peut pas accélérer

5) Comment épicer une histoire

  • Tu utiliseras la technique dont le nom est une référence à un film avec Stallone 

  • Tu comprendras d’où vient le cliché du méchant qui a presque gagné mais finalement non

  • Tu sauras comment manier les inversions de polarité

  • Pourquoi n’y a-t-il pas 2 ou 4 petits cochons ?

  • Tu te poseras la question de l’angle de la caméra, même si ton histoire n’est pas un film

6) Cinq archétypes clés en main

  • Tu comprendras quels sont les grands archétypes d’histoires

  • Tu auras un mini-plan qui détaille la structure de chacun

  • Tu pourras choisir lequel te va le mieux en fonction de chaque histoire

7) Résumé de la méthode

  • On reprend tout ça et on résume

  • Peu importe l’histoire tu as 8 choses à vérifier

8) Le bonus : étude de cas

  • J’écris d’abord une histoire sans charme. 

  • Puis j’utilise toutes les méthodes vues ensemble pour la muscler


Cliquer sur "Accéder"


Tu pourrais faire autrement…

As-tu besoin de moi ? Non. Surtout depuis que je t’ai appris à apprendre dans ma formation sur l’expertise du même nom.

Comme d’habitude, je ne vais pas faire de rétention d’information parce que j’ai envie de te vendre mon truc. Mes sources je te les ai déjà dévoilées plus haut. Tu peux donc aller les lire par toi-même.

Mais, bien sûr, ça va prendre plus de temps. Ce que je te propose c’est d’accélérer tout ça. Sans compter que je vais aussi te partager des concepts issus de ma propre expérience qui, par définition, est unique et dans aucun livre.

Comment accéder au contenu de la formation ?

Tu vas cliquer sur le lien, puis tu vas arriver sur un site qui te demande de créer un compte (ou de te connecter à ton compte si tu as déjà fait une de mes formations).

Ensuite, tu auras uniquement besoin d’une adresse email, d’un mot de passe et d’une carte bleue.

Tout te sera alors accessible immédiatement et…à vie.

Le format : 7 vidéos d’environ 15 minutes chacune et un bonus d’une demi-heure.

C’est parti ?

Félicitations, tu es désormais à la fin. C’était long pourtant. Sérieusement pourquoi t’as lu tout ça ? Si tu kiffes au point d’acheter, tu ne devrais déjà plus être là. Et si tu kiffes pas assez…comment tu as plu lire aussi longtemps ? Ou alors juste tu es perfectionniste et quand tu commences quelque chose tu vas au bout ?

Qu’est-ce qui t’a empêché de cliquer avant ?

Tu voulais la traditionnelle anecdote inutile peut-être ?

La voici :

Quelqu’un qui a 48 ans aujourd’hui a été vivant pendant environ 20% de l’histoire des États-Unis

Là c’est vraiment, vraiment la fin. C’est le moment de cliquer sur Accéder pour passer à l’étape suivante .

À tout de suite…